Le «Bien vieillir» qui s’adresse à la population générale et doit s’accompagner d’une meilleure prévention ‘amont’ (par exemple en améliorant le lien santé – travail) et promouvoir un vieillissement actif et en bonne santé (ex : programmes d’activités physiques).
La prévention de la perte d’autonomie, et plus précisément des situations de « fragilité », pour lesquels des gains importants sont possibles en termes d’espérance de vie en bonne santé, de qualité de vie, de qualité de prise en charge. Les contributions des chercheurs ont souligné les importantes inégalités sociales face aux risques et à l’enracinement de la fragilité.
D’autres préoccupations ont émergé au sujet la prévention auprès de populations spécifiques (populations avec MND, personnes handicapées vieillissantes, populations migrantes